Vangelis Chatzivasileiou, M. Laïna, Rodinos Fovos
 
Eleftherotypia, 24-3-1993
 
 
 

Le cas de Maria Laïna est caractéristique qui, avec son dernier recueil, aiguise sa voix et crée un espace purement personnel où dominent les surface larges, ouvertes, éclairées par des sources invisibles ou indirectes et, dans tous les cas, bien cachées. L’utilisation émotionnelle de la langue, pour se souvenir de la fameuse définition de la poésie de Richards, passe en l’occurrence à un stade avancé de raffinement et d’abstraction, toutes antennes tendues, non seulement celles de la raison mais aussi celles des sens […]

Cela vaut, je pense, la peine de le dire sans réserves. Le « Ρόδινος φόβος » trouve Maria Laïna à un de ses meilleurs moments : réfléchie, fertile, libérée des conventions de la moyenne et, surtout, drastiquement accessible et familière. »