Dimaras K. Th., Neoellinikos Diafotismos
 
(4i ekdosi) Athina 1985, Ermis
 
 
 

« Œuvre de jeunesse, de toute évidence, aux influences occidentales non négligeables, au point que, ici aussi, il faudra ne pas exclure la possibilité qu’il s’agisse d’un auteur privé de l’éducation scolaire grecque ; néanmoins, avec ces caractéristiques qui sont les siennes, il exprime admirablement, au travers d’une puissante grandiloquence rhétorique et d’une vibration intellectuelle courageuse, la campagne de l’hellénisme de l’époque. Le clergé de haut rang est critiqué pour superstition planifiée et esprit marchand, mais, les indifférents, tous ceux qui pourraient agir pour l’édification de l’hellénisme et demeuraient passifs sont tout aussi critiqués ; en même temps, un programme est élaboré pour la promotion et la libération des Grecs. » (p. 48-49)