Henderson G. P., Η αναβίωση του κλασικού στοχασμού 1620 - 1830. Η ελληνική φιλοσοφία στα χρόνια της Τουρκοκρατίας
 
Μ.τ.φ.ρ. Φ. Κ. Βώρου, Αθήνα 1994, Ακαδημία Αθηνών
 
 
 

« Ses Προλεγόμενα  constituent un brillant exemple de la façon dont Koraïs philosophait et mettait en valeur la philosophie. En ce qui concerne ses idées philosophiques, Koraïs n’est pas un penseur original.  Fondamentalement, il est un vulgarisateur.  Mais, il l’est avec un sentiment vivant et remarquable de la valeur sociale des pensées qu’il transmet. » (p. 213). « L’aspect « tragique » du cas de Koraïs était que, en dépit de sa productivité et en dépit de la justesse et de l’importance que revêtaient nombreux de ses points de vue, il demeura « une voix dans le désert ». Il poursuivait un radicalisme éducatif qui était également représenté par le courant antérieur de la pensée grecque. Lui-même, ouvrit encore un sillon, pour irriguer et rendre la vie à des plaines incultes. Mais le radicalisme s’assécha et le nouveau sillon demeura sec. […] Koraïs contribua à la renaissance de la pensée grecque et, par son intermédiaire, à la progression des Grecs vers l’indépendance.