Παπαγεωργίου Γ., «Προσπάθειες για ίδρυση «πανεπιστημίου» στην επαρχία του Ζαγορίου τις παραμονές της Επανάστασης (1813-1820)»
 
Δωδώνη, 16 (1987), σσ. 463-480
 
 
 

« Et, en tout premier lieu, bien que Doukas soit classé parmi les représentant de la tradition conservatrice en matière d’enseignement, il ne croyait pas aux méthodes didactiques dépassées, c'est-à-dire, à la lecture des psautiers et des octoèques. L’archaïsme qui le distinguait n’était pas le résultat d’un esprit réactionnaire. Il concevait le retour à la langue ancienne comme l’application des théories linguistiques des Lumières sur les données grecques. Il apparaît donc partisan des conceptions qui étaient absolument progressistes à son époque. »  (p. 471)

« Le 15 janvier 1820 il adresse de Bucarest une longue lettre à Ali Pacha […]. D’après ce que nous savons, il s’agit d’un des rares cas où l’érudit épirote s’exprime dans un texte écrit en langue démotique et il apparaît qu’il la manie aussi bien que la katharévoussa. Mais, le contenu de la lettre présente, lui aussi, un intérêt tout particulier. Parfait connaisseur de la question, Doukas ne rencontrera pas de difficultés à développer les arguments adéquats pour démontrer à Ali Pacha que la création d’une école est dans l’intérêt « de la gloire de son altesse et des habitants fidèles de Zagori. »